La réalité du métier de groundsman et du zéro phyto avec Romain Andréac
Publié le 14 mars 2022 à 06h00
Catégorie : Pratiques
Dans cette troisième et dernière partie de l’interview de Romain Andréac, l’Head Groundsman du Stade Ernest-Wallon de Toulouse nous parle de son expérience avec le zéro phyto et de l’évolution du métier de groundsman.
La semaine dernière,dans la deuxième partie de l’interview de Romain Andreac, l’Head Groundsman du Stade Ernest-Wallon de Toulouse nous parlait des ambitions du club en matière d’entretien de la pelouse et des événements à venir dont l’HSBC World Rugby Sevens Series. Il a également expliqué pourquoi les clubs de rugby et de football recrutent de plus en plus de greenkeepers provenant du golf.Dans la première partie de son interview, l’Head Groundsmannous présentait l’entretien du terrain d’une infrastructure surexploitée.
Aujourd’hui, dans cette troisième et dernière partie de l’interview, Romain Andréac revient sur son expérience avec le zéro phyto qui a fonctionné la première année lors de son arrivée mais, à l’été 2019, le groundsman a utilisé en deux mois tout ce qu’il aurait pu mettre en un an. Il explique pourquoi il a agit ainsi et comment il a rattrapé le terrain. Son approche a également changé l’année suivante. Il revient sur sa gestion de l’eau.
Ensuite, Romain Andréac donne son regard sur l’évolution du métier de groundsman, le stress qui l’anime et la réalité de ce dernier pour sensibiliser les futurs intendants.
En fin d’interview, l’intendant fait passer un message à tous ses confrères de la filière.
redaction.gsph24profieldevents.com (Lucas Sanseverino)