[Green Golf Convention 6/10] Continuer à s'informer pour s'adapter aux évolutions du métier de greenkeeper
Publié le 22 février 2019 à 15h42
Catégorie : Pratiques
Cette semaine, retour au golf du Domaine des Ormes (Ille-et-Vilaine), site hôte de la Green Golf Convention, à travers l’interview de son superintendant, Antoine Clémenceau. Pour lui, si la GGC reste un rendez-vous convivial, elle contribue également à une remise en question des greenkeepers et de leurs méthodes de travail.
Pour Antoine Clémenceau, c’était « un plaisir d’accueillir la GGC », une première aux Ormes. En plus de recevoir greenkeepers et partenaires (fournisseurs de matériel et de produits), la convention a également permis de faire connaître le domaine.
Le superintendant retient également de la GGC son cycle de conférences « très intéressantes, permettant de se remettre en cause dans les méthodes de travail. » Conscient des évolutions qui touchent le métier (législation, recrudescence des maladies cryptogamiques), il reconnaît que même après 30 ans de carrière, « on apprend tous les jours ». Il ne s’agit pas tant pour lui de revoir les méthodes de travail des greenkeepers de fond en comble, mais plutôt de s’adapter, « de faire des réglages ». Le recours à de nouveaux matériels ainsi qu’à des produits biostimulants, renforçant les défenses naturelles des gazons, sont les moyens de s’adapter tout en continuant à offrir aux joueurs des greens de qualité.
Vous pouvez retrouver l’intégralité de l’entretien avec Antoine Clémenceau dans la vidéo ci-dessus.